• Vendredi, dernier vendredi de juillet, premières heures de mes congés, le soleil est au rendez-vous, nous avons nos tickets dans le sac à dos, les k-way y sont également aussi. On est en Belgique, donc la drache nationale (pour les françaises: grosse averse) peut toujours s'inviter arf

    Direction, l'abbaye de Floreffe pour le festival Esperanzah!. Nous avons acheté nos tickets pour spécialement aller voir Alpha Blondy. L'homme est fan, moi un peu moins mais je suis et puis il y a toujours quelques morceaux incontournables que je connais.

    Festival Esperanzah! ... Tu connais ?

    Esperanzah!, se déroule sur le site fabuleux de l'Abbaye de Floreffe, c'est un festival engagé et familial. Nous y allons toujours avec petit homme car il peut y faire des bricolages écologiques, y découvrir des jeux fait avec des matériaux de recyclage,...

    J'aime aussi ce festival car il y a des robinets d'eau disponibles à plusieurs endroits du site et vous pouvez aussi y venir avec votre pique nique et/ou vos boissons dans des bouteilles en plastique et comme c'est au festival familial, il y a des casques de protection auditive pour les enfants smile

    On y trie aussi ses déchets pour réduire l'impact environnemental.

    Esperanzah! prône aussi la diversité culturelle et programme des artistes émergents et reconnus pour leur authenticité, leur engagement politique et social et/ou leurs grandes qualités humaines. Des débats, des films sur des sujets de société, pour des jeunes et moins jeunes engagés.

    Esperanzah!, c'est aussi des artistes de rues à tous les coins. La déco du site est drôle, décalée et vue nulle part ailleurs

    Tu peux aussi acheter des tickets pour 1, 2 ou 3 jours et combiner ton séjour au camping du festival car des dizaines d'artistes de tout horizon sont programmés tout au long des 3 jours sur les scènes côté jardin et côté cours

    Cette année, nous avons donc écouté Alpha Blondy mais aussi Atomic Spliff, un groupe belge qui a mis le feu sur les 2 scènes où ils se sont produits et qui joue du reggae ainsi que Starflam, un autre groupe belge rappant et qui revenait avec un nouvel album après un longue absence.

    Festival Esperanzah! ... Tu connais ?Festival Esperanzah! ... Tu connais ?Festival Esperanzah! ... Tu connais ?Festival Esperanzah! ... Tu connais ?

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Les mots qu’on ne me dit pas, Véronique Poulain (Stock)

    Livre qui se lit très vite, beaucoup d’émotions et d’humour

    Véronique Poulain a vécu avec des parents sourds alors qu'elle-même entend très bien. Elle nous raconte son quotidien, ses problèmes d’enfant, son adolescence et son besoin d’être entendue. L’adaptation d’un entendant envers les non entendant.

    L’handicap est dédramatisé

    L’auteur nous aussi que la considération envers les personnes sourdes a commencé à évoluer en France vers 1977.

    Elle explique la langue des signes dont les phrases ne sont pas structurées comme un langage oral et que la conjugaison n’existe pas dans cette langue

    Mes dernières lecturesPrésentation de l'éditeur

    « “ Salut, bande d’enculés ! ”
    C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison.
    Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds.
    Je vais leur prouver que je dis vrai.
    “ Salut, bande d’enculés ! ” Et ma mère vient m’embrasser tendrement. »

    Sans tabou, avec un humour corrosif, elle raconte.
    Son père, sourd-muet.
    Sa mère, sourde-muette.
    L’oncle Guy, sourd lui aussi, comme un pot.
    Le quotidien.
    Les sorties.
    Les vacances.
    Le sexe.
    D’un écartèlement entre deux mondes, elle fait une richesse. De ce qui aurait pu être un drame, une comédie.
    D’une famille différente, un livre pas comme les autres.

    Biographie de l'auteur

    Véronique Poulain travaille dans le spectacle vivant. Elle fut pendant quinze ans l’assistante personnelle de Guy Bedos. Les mots qu’on ne me dit pas est son premier livre.

    Petite mère, Henriette Bernier (Presse de la Cité)

    Très belle histoire, d'une "trop" jeune fille qui va par obligation devenir la mère de ses frères et sœurs.....A mon avis un ou deux chapitres de trop ou trop long mais un beau livre nous faisant découvrir le monde rural dès la fin de la première guerre, les obligations familiales, l’évolution de la société et la souffrance des soldats rescapés de la grande guerre.

    Mes dernières lectures
    Présentation de l'éditeur

    Printemps 1919. De retour d'exode, la famille Piquart retrouve sa région de Verdun. A quatorze ans, Rosalie est une excellente élève. Encouragée par son instituteur, elle espère devenir maîtresse d'école. Mais sa mère Sidonie meurt des suites d'une longue maladie. La tradition et le devoir désignent l'aînée des filles pour s'occuper du foyer auprès d'Eugène, le père, maçon. Désormais, Rosalie doit veiller sur ses frères et sœurs, dont Marinette, qui, à trois ans, l'appelle d'instinct " petite mère ". Des années durant, Rosalie va sacrifier son enfance, son rêve, sa vie de jeune femme pour les siens... Roman pudique et bouleversant, Petite Mère est également l'occasion d'évoquer la reconstruction d'une région profondément marquée par la guerre de 1914-1918, autour de Verdu, ville symbolique.

    Extrait

    - Verdun... soupira Sidonie. Nous voilà tout de même arrivés... Enfin !
    Les freins crissèrent et une secousse brutale déséquilibra les quelques passagers trop pressés qui commençaient déjà à rassembler leurs bagages.
    - Attendez un peu, les jeunes ! dit Eugène. On descendra les derniers, pour éviter la bousculade.
    Quand à leur tour ils se trouvèrent sur le quai, avec leurs sacs, valises et baluchons de toutes tailles, comme ceux qui les avaient précédés ils se mirent à regarder autour d'eux, à la recherche d'un visage connu.

    - Tiens ! dit Eugène. J'aperçois là-bas l'Aristide Guillemin, il est venu lui-même nous chercher, le brave homme.

    Aristide Guillemin était le maire du village de Clercy, qu'Eugène Piquart, sa femme Sidonie et les quatre enfants qu'ils avaient alors avaient quitté, cinq années plus tôt, à quelques mois près, en août 1914, pour cause d'évacuation.
    Il avait vu les arrivants et à grands pas s'avançait vers eux. Et tous de se regarder, sans parler, parce qu'il fallait bien d'abord se reconnaître, se retrouver.

     

     

     

     

     

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  • Alors, ce film j'avais très très envie d'aller le voir car je suis passionnée de l'Histoire de France.

    Donc, je l'ai vu et que dire .... déception, mièvrerie, grands arrangements avec l'Histoire, belle musique, belles images et incrédibilité des acteurs ! Je ne suis pas du tout rentrée dans l'histoire, je me suis ennuyée ! Ce film est plat, insipide et Matthias Schoenaerts est décevant tout comme Kate Winsley mais d'elle je suis moins fan.

    Le Roi Louis XIV parait humain, sensible, accessible tout le contraire de ce que l'on sait de lui.

    Pour terminer sur note positive: Kate Winsley, Sabine de Barra se métamorphose, embelli comme une fleur dès la seconde partie du film afin de bien marquer son cheminement personnel, son passage de la souffrance à la joie d'aimer de nouveau et de se pardonner

    Les jardins du Roi d'Alan RickmanRésumé du film:

    Artiste aussi douée que volontaire, Sabine De Barra conçoit de merveilleux jardins. En 1682, son talent lui vaut d’être invitée à la cour de Louis XIV, où le célèbre paysagiste du roi, André Le Nôtre, fasciné par l’originalité et l’audace de la jeune femme, la choisit pour réaliser le bosquet des Rocailles. Ce sera une pièce maîtresse des jardins, la salle de bal à ciel ouvert du nouveau palais que le Roi Soleil souhaite créer à Versailles pour éblouir l’Europe. Tout en donnant son maximum et en menant l’incroyable chantier pour terminer à temps, Sabine s’aperçoit vite qu’à la cour, le talent ne suffit pas : il faut aussi maîtriser l’étiquette et savoir naviguer dans les eaux troubles des intrigues. La jeune femme défie les barrières sociales et celles liées à son sexe ; elle noue même une surprenante relation avec le roi et gagne la confiance du frère du souverain, Philippe. Au-delà des interdits et des passions, au coeur d’une cour sur laquelle le monde entier a les yeux rivés, Sabine et Le Nôtre vont tout donner pour porter le rêve de leur vie malgré les obstacles...

    Extrait du film: C'est ici 

    ou ici

    Bande annonce: C'est ici

     

     

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  • Samedi soir, aucune émission digne d’intérêt à la télévision, j’entame le nouveau livre d’Agnès Martin-Lugand, la suite de « les gens heureux lisent et boivent du café ».

    Quelques heures et une insomnie plus tard, le livre est terminé. Je suis contente d’avoir eu des nouvelles de Diane, de savoir comment elle évoluait. C’est comme lorsqu’on rencontre une amie que l’on a plus vu depuis quelques mois et qui nous raconte ce qui lui est arrivé durant les derniers mois.

    J’ai vibré, j’ai ri, j’ai pleuré avec Diane. Je me suis questionnée sur comment réagirait mon petit homme si je venais à disparaitre, qui serait là pour prendre soin de lui. J’ai refoulé très loin dans mon esprit de comment moi je serais si mon petit homme me quittait.

    Grâce à ses descriptions de l’Irlande, j’ai eu envie aussi d’affronter le vent, la pluie, d’admirer les paysages, de découvrir ce pays.

    Bref, Un très bon livre et un excellent auteur qui nous fait vivre ses livres à travers toutes les palettes des sentiments et des émotions.

    je vous conseille de lire le premier avant d'entamer celui-ci pour une meilleure comprehension des personnages yes

     La vie est facile, Agnès Martin-Lugand (Michel Lafont)Résumé de la maison d’édition

    Alors que j’étais inconsolable, il m’avait mise sur le chemin du deuil de mon mari. J’avais fini par me sentir libérée de lui aussi. J’étais prête à m’ouvrir aux autres. »

    Depuis son retour d’Irlande, Diane a tourné la page sur son histoire tumultueuse avec Edward, bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l’aide de son ami Félix, elle s’est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son café littéraire. C’est là, aux Gens…, son havre de paix, qu’elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné et surtout il comprend son refus d’être mère à nouveau. Car Diane sait qu’elle ne se remettra jamais de la perte de sa fille.

    Pourtant, un événement inattendu va venir tout bouleverser : les certitudes de Diane quant à ses choix, pour lesquels elle a tant bataillé, vont s’effondrer les unes après les autres.

     

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  • Deux juifs voyagent dans un train, Adam Biro (Belfond)

    Un livre écrit par un juif et pas seulement pour les juifs. Des histoires souvent entendues mais avec d’autres nationalités ou avec d’autres personnages. Des histoires hilarantes, des réflexions sur Lui (Dieu), des personnages d’un autre temps, des rabbins modernes, Satan mais surtout une auto dérision de l’auteur sur le peuple juif, les shérazades. Un livre qui n’est pas qu’un livre mais un recueil de contes. A lire d’une traite ou un conte de temps en temps afin de mettre un peu de soleil dans sa journée.

    Mes dernières lectures

    Résumé de la maison d'édition

    Suffit-il de manger des têtes de poisson pour devenir intelligent ? Comment faire fortune quand on est idiot ? Dieu est-il mauvais physionomiste ? Peut-on donner sa fille à marier à quelqu'un qui n'a pas de montre?

    Deux juifs voyagent dan un train... Beaucoup de vieilles histoires juives d'Europe de l'Est commencent ainsi. Si chacune est singulière, toutes ont pourtant des points communs : celui de refléter une époque révolue dans laquelle tout le monde peut se reconnaître, encore et toujours, et celui de mettre l'homme à nu face à ses défauts, à ses vices, à ses qualités, à son destin... à sa condition de mortel.

    Deux juifs voyagent dans un train... Voilà bien une situation banale qu'on évoquait autrefois sur le mode mineur... jusqu'à ce que la Seconde Guerre mondiale établisse un rapport sinistre entre "train" et "Juif".

    Nouvelles aux chutes hilarantes et détonnantes, Deux juifs voyagent dans un train mêle habilement le grotesque et la légèreté au désespoir et à la moquerie féroce, tout en se frottant non seulement aux grandes questions du judaïsme, mais aussi à celles de l'humanité.

    26 Rue Verlaine, Patricia Hespel

    Découverte d’une auteur belge, bruxelloise d’origine mais vivant à Gesves, dans la région où j’ai grandit. Ce livre est son troisième roman et c’est une belle découverte.

    Ce roman parle du monde d’aujourd’hui et de la difficulté à y trouver sa place. On y parle de solitude et d’amitié, de détresse, du réconfort, des familles éclatées, recomposées ou de crise mais aussi et surtout d’espoir. Car, au fil des rencontres, des liens se tissent et l’avenir se construit peu à peu, moins solitaire, plus solidaire.

    Ce livre s’adresse à ceux qui savent que la vie n’est pas un long fleuve tranquille.

    Mes dernières lectures

    Résumé de la maison d’édition

    Les habitants du 26, rue Verlaine se croisent dans les escaliers, courent après le temps, remplissent leur frigo et achètent des cadeaux de noël. Ils pestent sur leurs factures, cherchent du travail ou révisent leurs examens.

    Des voisins ordinaires et qui auraient pu le rester...si Jerry n'avait pas invité Matt à boire une bière, si Clarisse et Lisa ne partageaient pas une même passion pour les séries télévisées... si l'alliance conclue entre Wild Queen et Captain Mozart ne causait pas des ravages dans les rangs aliens... si les lasagnes de Justine ne faisait pas l'unanimité...Des "si" anodins et pourtant précieux, comme des fils tendus entre leurs existences, à la manière des lignes imaginaires qui dessinent les constellations.

     

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