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Par quadramaispasque dans J'ai lu, J'ai vu, J'ai entendu #Livre#, #Musique#, #cinéma#, #théatre# le 18 Novembre 2016 à 15:20
Pour ceux qui me connaissent bien, mes goûts musicaux ne sont pas très rock & roll mais plutôt variété française ou à petite dose pop française mais de plus en plus chanteurs à textes. Mon chouchou, mon coup de cœur du moment c’est Vincent Delerm. Je connaissais depuis longtemps mais sans avoir approfondi et un jour, par hasard, j’ai entendu sur YouTube, une reprise en concert du « coupde soleil » de Richard Cocciante, et j’ai adoré cette reprise, son timbre de voix, sa façon d’interagir avec le public donc ni d’une ni deux, j’ai laissé You tube me proposer tout un échantillon de ses chansons et là ….coup de foudre musical !
Ecouter Vincent Delerm c’est comme lire un livre, partir en voyage. C’est clair que cet homme est un amoureux des « Lettres », de la littérature. Chaque chanson est un moment de vie, l’humour est souvent rendez-vous.
Mes chansons préférées des anciens albums sont : tes parents, Fanny Ardant et moi (écouter ICI), grand plongeoir.
sur le nouvel album « A présent », j’adore "les chanteurs sont tous les mêmes" (écouter ICI) magnifiquement interprété avec Benjamin Biolay, « La dernière fois que je t’ai vu » Un superbe texte d’hommage à son grand père, et pour ne pas tous les citer « Je ne veux pas mourir ce soir (écouter ICI)» et « danser sur la table ».
Toutes les chansons reprises sur son Album « Favourite songs » sont des bijoux de par son interprétation et les duos inattendus, …. On redécouvre les chansons par son timbre de voix, ses réadaptations réussies.
Apparemment, je ne suis pas la seule à être sous le charme car les places de son concert au Théâtre de Namur, en mai 2017, ce sont vendues comme des petits pains en quelques jours et j’ai failli louper l’évènement mais heureusement, j’ai 2 places pour moi et l’homme (qui va devoir se forcer pour me faire plaisir).
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Par quadramaispasque dans J'ai lu, J'ai vu, J'ai entendu #Livre#, #Musique#, #cinéma#, #théatre# le 16 Novembre 2016 à 17:00
Je n'avais plus publié d'avis sur mes sorties ou mes lectures depuis plusieurs mois, pas parce que je ne suis pas allée au cinéma ou je n'ai pas lu mais uniquement car rien n'avait transcendé ma vie mais cela est rectifié par un film vu lors du festival international du film francophone et une pièce au théâtre de Namur
Théâtre : Europeana de Patrick Ourednik
Pièce tenue du début à la fin par Anne-Marie Loop - et son chien, qu’elle fait gentiment participer et qui apporte une autre touche d’humour à cette pièce que je conseille à tous et si possible à tous les adolescents
« Le texte de l’écrivain tchèque Patrik Ourednik est à la fois très sérieux et pas sérieux du tout. Il livre dans un désordre tourbillonnant un portrait grinçant mais cocasse de l’Europe du XXe siècle. Les grandes utopies, les anecdotes, les catastrophes humaines et les petits tours que nous joue notre mémoire. La Première Guerre mondiale, le droit des femmes, les télégrammes, l’exposition universelle et l’arrivée de l’électricité. Les petites histoires construisent la Grande Histoire du siècle dernier, encore pourtant si proche. »
Anne-Marie Loop raconte cette « Brève histoire du XXe siècle » comme un cours d’histoire loufoque. L’Europe, c’est elle. Elle devient Europeana. Dans une franche camaraderie aguicheuse, elle nous emmène en voyage et ménage ses surprises. La promenade est cynique et savoureuse !
Cinéma : Le ciel attendra de Marie-Castille Mention-Schaar
2 familles dans la tourmente de la radicalisation. Un film porté par deux jeunes comédiennes, Clotilde Coureau et Sandrine Bonnaire
2 points de vue, 2 jeunes filles que rien ne peut conduire à la radicalisation sauf la fragilité de l’adolescence, l’impression de ne pas être comprises par leur famille, un idéal d’amour et surtout vouloir garantir le paradis à leurs proches surtout à la mère.
Le film montre d’une façon claire et chirurgicale la radicalisation de l’une et la dé-radicalisation de l’autre, la souffrance des familles
C'est mon film coup de cœur de cette rentrée.
Synopsis
Beaux cheveux roux, sourire doux, Mélanie (Naomi Amarger) est une jeune fille rêveuse. Violoncelliste, idéaliste, elle est ravagée par la mort de sa grand-mère. Contactée sur Facebook par un certain Medhi, elle se confie à lui. Il la réconforte, lui dit que lui aussi a perdu un être cher, son petit frère, dans un accident de scooter… Il lui envoie le lien d’une vidéo qui l’a beaucoup aidé. Sur celle-ci, de superbes images de lions chassant dans la savane, de lionceaux jouant avec leur mère… Des images de liberté sur fond de musique orientalisante. Elle a mis la main dans un engrenage qui va la mener à la radicalisation, alors qu’elle pense simplement tomber amoureuse…
Arrêtée à l’aéroport avant de s’envoler pour la Turquie puis la Syrie, Sonia (Noémie Merlant) est, elle, autorisée à être gardée à la maison par ses parents (Sandrine Bonnaire et Zinedine Soualem). Une cohabitation difficile débute, couplée à une thérapie de dé-radicalisation. La mère oscille entre incompréhension et impuissance face au délire de sa fille. Ne lui reste qu’une seule arme : l’amour
Bande annonce: http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19564589&cfilm=245618.html
La fille du train de Tate Taylor
Difficile de comprendre le film pendant les 20 premières minutes, difficile de distinguer 2 personnages de par leur ressemblance physique, difficile de comprendre la trame avec les différents flashback mais une fois que je suis rentrée dans le film et que j’ai enfin compris qui est qui, qui fait quoi,… j’ai passé un bon moment. C’est un film qui parle du divorce, de la manipulation, de la stérilité et des dégâts que cet état fait à une femme. La fin est surprenante enfin je suppose que cela l’est moins pour ceux qui ont lu le livre (Paula Hawkins)
Synopsis
Rachel prend tous les jours le même train et passe tous les jours devant la même maison. Dévastée par son divorce, elle fantasme sur le couple qui y vit et leur imagine une vie parfaite jusqu’au jour où elle est témoin d’un évènement extrêmement choquant et se retrouve malgré elle étroitement mêlée à un angoissant mystère.
Bande annonce: http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=234725.html
Au niveau livre, je me suis régalée avec Petit Pays de Gael Faye (Edition Grasset)
Apparemment Gael Faye est un chanteur (inconnu pour moi) de père français et de mère rwandaise. Il décrit l’Afrique de manière simple, solaire et avec humour. Le génocide rwandais est un sujet maitrisé de par son origine et car il a habité le pays au moment des drames.
Synopsis
Gabriel, dix ans, vit au Burundi avec son père français, entrepreneur, sa mère rwandaise et sa petite sœur, Ana, dans un confortable quartier d’expatriés. Gabriel passe le plus clair de son temps avec ses copains, une joyeuse bande occupée à faire les quatre cents coups. Un quotidien paisible, une enfance douce qui vont se disloquer en même temps que ce « petit pays » d’Afrique brutalement malmené par l’Histoire. Gabriel voit avec inquiétude ses parents se séparer, puis la guerre civile se profiler, suivie du drame rwandais. Le quartier est bouleversé. Par vagues successives, la violence l’envahit, l’imprègne, et tout bascule. Gabriel se croyait un enfant, il va se découvrir métis, Tutsi, Français…
« J’ai écrit ce roman pour faire surgir un monde oublié, pour dire nos instants joyeux, discrets comme des filles de bonnes familles: le parfum de citronnelle dans les rues, les promenades le soir le long des bougainvilliers, les siestes l’après-midi derrière les moustiquaires trouées, les conversations futiles, assis sur un casier de bières, les termites les jours d’orages... J’ai écrit ce roman pour crier à l’univers que nous avons existé, avec nos vies simples, notre train-train, notre ennui, que nous avions des bonheurs qui ne cherchaient qu’à le rester avant d'être expédiés aux quatre coins du monde et de devenir une bande d’exilés, de réfugiés, d’immigrés, de migrants. »
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Quand j’ai commencé ce blog, je pensais que cela allait être facile, que j’allais trouver des sujets intéressants à écrire au moins 2 fois par semaine mais le temps passant, je me suis rendue compte que non seulement il n’est pas évident de trouver des sujets mais il y a aussi le doute qui s’installe sur le fait de plaire, si l’on va être lu ou non, l’article écrit l’est-il parfaitement, ai-je fait des fautes d’orthographe, n’a-t-on déjà pas trop parlé de cela, … Je pensais aussi que cela n’allait pas me prendre trop de temps, que je trouverais bien 30 minutes soit le soir, soit pendant ma pause de midi.
Bref, le temps non plus n’est pas facile à gérer entre un boulot à temps plein, la maison, le mari, les enfants même s’ils ne sont plus des petits dont il faut s’occuper constamment.
Et puis, il y a aussi la fatigue de la semaine, les trajets en train et métro sont longs et de plus en plus fatiguants, l’envie de ne rien faire le soir et même le weekend, je m’enferme dans une paresse générale qui ne me ressemble pas mais depuis mon déménagement en février, j’ai l’impression de récupérer des mois, des années de fatigue, d’effervescence, de toc car comme j’ai décidé de désencombrer la maison non pas que l’autre était encombrée comme chez nos grands-mères mais notre précédente maison ne me convenait pas, je ne m’y sentais pas bien donc j’ai passé 10 ans à avoir des insomnies, 10 ans à nettoyer, frotter du matin au soir, 10 ans à constamment ranger, 10 ans à ne pas me reposer, à ne pas me poser dans le divan et de prendre du temps pour moi, 10 ans à vouloir que tout soit parfait. Cette nouvelle maison correspond mieux à mon état d’esprit, tout est clair, blanc, rien au mur, … La déco est une non-déco mais mon esprit avait besoin de cette luminosité, de ce vide et cela m’apaise, mes tocs ont presque disparu et mon esprit et mon corps se reposent.
Tout cela a fait que je n’ai plus publié depuis plusieurs semaines. Alors, il est vrai que le plaisir d’écrire doit le rester, tout comme on a plaisir de partager ses expériences, ses achats et ses sorties avec sa familles, ses amis. Je veux continuer à considérer les personnes qui prennent le temps de me lire, m’écrire comme des amis.
Bref, à force de trop réfléchir, de douter, de me reposer, le temps passe, les articles sont moins nombreux mais j’espère revenir à ce blog de plus en plus régulièrement. J’ai même déjà préparer un article sur mes lectures, mes sorties cinéma, …
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Une fois n'est pas coutume, voici une recette non cosmétique ou menagère mais culinaire, facile pour remplacer les sirops de grande surface.
Si comme moi, ton jardin regorge de menthe ou pas (tu peux aussi acheter un pot de menthe bio en super marché), voici comment faire un sirop maisonIngrédients et ustensiles:
- 2 bols de feuilles de menthe fraiche
- 1l d'eau chaude
- 1kg de sucre
- 1 casserole et un chinois
- bouteille recycle en verre pour y mettre le sirop (j'ai utilisé une ancienne bouteille de sirop)
Recettes:
- laver les feuilles de menthe, les mettre dans une casserole avec 1 litre d'eau chaude et laisser infuser toute une nuit
- filtrer l'infusion, jeter les feuilles, mettre l'infusion dans une casserole avec le sucre et laisser cuire sans bouillir pendant une heure.
- verser le sirop dans la bouteille de recyclage. Conserver au frigo ou à l'abri de la lumière
- Utiliser une mesure de sirop pour 3 mesures d'eau, raffraichissant et très bon.
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Le Maquillage Benecos est une marque que j'ai découverte dans mon magasin bio Farmstore.
Benecos n'utilise pas d'ingrédients qui présentent un danger pour notre organisme. Les huiles et cires végétales utilisées dans leurs produits ont une composition semblable au sébum de la peau et favorisent le processus de régulation naturel de la peau de l’intérieur. Elles sont bien tolérées, sont biodegradables et respectent l’environnement.
Les produits benecos sont certifiés BDIH ne contiennent aucune huile minérale ni aucun dérivé / silicone / parabène / émulsifiant synthétique et dérivé (PEG / dérivé PEG) / colorant et parfum synthétique. Ils ont donc la garantie d’un produit naturel composé d’ingrédients bénéfiques (issus, si possible, de l’agriculture biologique contrôlée).
En ce moment j'utilise, la BB cream, elle tient pratiquement toute la journée, l'odeur est assez forte mais pas dérangeante. L'application au doigt est assez aisée. une base pour le fard à paupière, le fard à paupière duo noblesse Benecos et ce jour un vernis nude rosé (pas de photos de mes mains car elles ne sont pas au top à cause du jardinage).
Je suis bluffée par la qualité, la tenue de mon maquillage, mes cils sont super bien allongés et si je devais recommandé une marque pour passer au maquillage bio, Benecos ferait partie de mon top 3 sans aucune hesitation.
Les prix en direct sur leur site sont vraiment incroyablement bas, de même que dans mon magasin bio. Je ne sais pas lire l'allemand donc malheureusement, je ne sais pas si la marque livre en Belgique, France,... mais après quelques recherches, les produits sont disponibles sur d'autres sites en ligne.
On pourrait ajouter que Benecos est aussi bénéfique pour votre portefeuille
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